Sur l’affiche qu’il faut lisser pour qu’elle colle et s’immerge dans le mur est posée la main. Au niveau de l’aine du personnage, la main glisse ou appuie, intègre le mur photographié au mur existant. Autour de la main, le mur, sous la main, le mur et le corps aplati, imprimé de cette femme, de ses jambes et de son jean. Précision, douceur, fermeté : ce qu’il faut pour que l’affiche prenne et se fonde dans son paysage. Doigté de la main dont toute la surface doit agir pour que le processus fonctionne. Photo de la photo, gouffre abyssal des perspectives et la main qu’on peut sentir, toucher, humer parce qu’elle existe bien, quelque part.
Voilà le punctum.
Voilà le punctum.
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