Les enfants que sont, sous la pluie, lorsque lumière tranchant la nuit
Dégoulinant la nuque, doigts rougis, ta face
Celle qui n’est pas tienne qui des traits moins grossiers
Et dans le bosquet bas, dans le buisson, le son grave de son miaulement et de sa langue râpeuse et qui mystère partout tout le temps et qui se frotte assidument
Qui disparait
Qui n’est plus là, que les enfants ennuient, qui patiente
C’est un chat
Il y avait tout ensorcellement et tout réel
Ce n’est pas la magie d’un chat qui court vers toi qui lendemain fuit
Le sens est l’horizon des brodeuses, leur endoctrinement
Tu attends
Une intelligence en strates, une pensée fine
La délicatesse des vertèbres, des cheveux, des pores
Le craquement d’une peau trop sèche et percée
La trouée
Tout a toujours été cassant, des incessantes minutes le cul sur un strapontin sale du matin, des plateaux, des signes, des distances règlementaires
Langue râpe
Miaule, grave
Les enfants
De ce que vous étiez
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