Parce que c'est la faute à personne si tu frissonnes
Comment succession de lignes, le bruit du frottement
et le soleil enfin noble grâce au poids des nuages, leur texture et l'opacité des corps
grandes tranches donc, arbres sombres, bleu et vert autour des lèvres
Il y a des lamas dans chaque pli
mais ils se connaissent tous
(et le monde est merveilleux)
c'était fort et violent c'était lent
*
Amassé c'est pour pas oublier
Pour pas laisser passer la chance pas
la danse tu sais quand c'est comme ça on marche à quatre pas
C'est un rythme désarmant, les épaules en dedans
ta main sous mes oreilles
ma langue autour de toi
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