Un jour, il n’y aura plus de frontières
C’est en tout cas ce qu’il lui avait dit en descendant du train
A l’abri des murailles de fer forgé blanc crasseux
Qui reliaient leurs deux tanières
Depuis longtemps nous seront morts
Avait-il même ponctué entre deux jets de fumée
Pour lui faire oublier l’urgence urbaine et glauque
Des échéances dépassées et de l’inéluctable marée
Un peu comme une façon de dire que ce qui est passé
Est bien passé.
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