Le cou d’un chaton endormi
Rond. Tiède.
La tête se lève et lèche la main qui caresse
Les dents sortent, aiguisées
C’est la peur de l’inconnu.
Je pourrais tout briser, ton cœur avec
Plier tirer plonger
Pincer la langue râpeuse, l’humeur rêveuse.
Solitude bénie des couples heureux
Monstres à deux têtes, un cœur battant
La guerre intime n’a pas de cri.
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