"La vérité est souvent plus dure que la bite d'un adolescent mais elle a ses vertus."
gtalk, 20 Août 2012
Le cri strident qu’a déchiré ma gorge
J’y pouvais rien je pouvais pas
C’était là comme ça à me narguer
Ce que je n’avais pas vu
C’était moi souillée au sol au mur
C’était mon âme qui s’effondrait
Un fantôme qui au lieu de s’emparer de moi
En entrant par mon nombril
Pour explorer mon corps avec la vigueur
De ce que tu es toi
S’échappait par ma bouche
Sortait les crocs pour rayer le carrelage
Toute l’horreur de ce moment-là
La douleur c’est pas ça
Là c’est la gêne l’odeur la mort
Celle qui s’est déjà tant présentée à moi
Celle que je salue avec courtoisie à chaque fois
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